Siempre Libre
art-work primavera
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J’ai découvert Cathy Claret dans une interview des Inrockuptibles
au début des années 90. Depuis j’essaie de la suivre et je loue
internet
qui m’a permis de la retrouver. Il y’a de ces talents discrets qui
préfèrent suivre
leur coeur que de gérer leur vie par des business plans. Les nouveaux
titres de Cathy
sont tout aussi géniaux que ses anciens. De par mes origines et ma
culture je suis depuis toujours
attiré par l’idée d’une culture pop méditerranéenne qui irait de
Barcelone à Nîmes en passant par Lisbonne et Seville.
Une sorte de fantasme de voyage musical et intérieur. Jeannette avec
André Popp représentait cela des années 60 à 80.
Cathy sans le savoir à repris le flambeaux mais en allant plus loin
car ne l’oublions pas c’est une auteure compositrice qui touche des
parties de l’âme que beaucoup d’autre ne touchent pas. Avec les Beach Boys il y avait l’été sans fin – avec Cathy – ce
serait la primavera- le printemps sans fin.

Jean-Emmanuel Deluxe